Le Matricule des anges, 20 novembre 1996, par Philippe Savary

Gert Jonke […] rend un hommage élégant et passionné au compositeur allemand. Par une langue riche en résonances et en harmonies, l’écrivain autrichien réussit à reproduire cette fulgurance issue des catacombes de la création en cernant cette « tête » où tant de musique avait pris place, cette « tête » qui a toujours su percevoir « en écho l’explosion d’un son produit par la pulvérisation d’un soleil inconnu. »