Le Monde, 9 mai 1997, par J. S.

Si son hommage à Balzac et à Cingria est pertinent, subtil, simple, net – comme Michon, toujours, sait l’être –, c’est son texte sur Faulkner qui est magnifique, émouvant dans son intimité, sa presque timidité, sa gêne.