La Quinzaine littéraire, 1er janvier 1992, par Marie Étienne

L’ensemble, bien que souvent secret, comme on peut s’y attendre quand il s’agit de poésie, se lit dans une dynamique de dialogue, dans un mouvement vers un autre, il est ouvert sur l’échange. En dépit de la récurrence du thème de la mort et de la disparition, de la destruction, de l’enfermement, les poèmes conservent la grâce savante qui caractérisait déjà le premier volume.