Libération, 3 novembre 2005

Animateur d’une des meilleures revues électroniques, Chaoïd, l’auteur, un jeune universitaire, s’interroge sur les mondes fictionnels contemporains qui gravitent autour d’une écriture de l’ultime. Centré sur l’œuvre emblématique d’Antoine Volodine, mais enveloppant aussi celles de Novarina, Guyotat, Rolin, l’ouvrage mêle littérature et philosophie pour dégager une esthétique qui, affectée par l’histoire et la philosophie, serait celle du « dénouement ».