La Quinzaine littéraire, 1er septembre 1998, par Anne Thébaud

L’ouvrage de Dominique Sampiero s’apparente aux récits des origines. Une voix indistincte et anonyme s’interroge sur le bien et le mal, la naissance et la mort. Sa vérité est celle de tous et de chacun.

[…] Que l’homme soit érudit ou illettré, moine ou paysan, lui incombe une tâche identique, celle de s’accomplir et, à sa mesure, de recréer le monde.