La Croix, 8 juin 1992, par Emmanuel Saunderson

Dans La Femme sans ombre, l’amour apparaît comme la voie royale vers la métamorphose, et plus encore vers la rédemption. […]

Dans ce conte riche de symboles où l’humilité dénoue l’un après l’autre les nœuds qui enserrent les cœurs, Hermann Broch discernait « un sommet entièrement gravi de l’art narratif de Hofmannsthal ».