Le Magazine littéraire, novembre 1992, Aliette Armel
Dans une langue à la perfection un peu froide, Alain Lercher pousse très loin l’exploitation d’un univers dont l’intimité est renforcée par l’emploi de la première personne. Il donne à lire ce qui, d’ordinaire, reste caché et qui, si on l’en croit, n’arrive pas qu’aux autres !