Le Généraliste, 17 février 1995

La mort d’une mère. Rarement ce thème aura été mis en littérature avec autant d’économie de mots, avec autant de profondeur et d’émotion, sans fard. […] Comment ne pas accompagner l’auteur dans ses réflexions, dans ce chemin à la fois si banal et si unique qui est le lot commun du destin de chacun. Comment ne pas s’approprier ses mots si justes, si évidents, si chargés d’amour et de vie, et qui le sont tellement qu’il n’est rien de plus difficile que de les exprimer.