La Croix, 8 juin 1992, par Laurent Lémire
Bref, délicat, juste et désenchanté, le récit de Pierre Bergounioux joue avec la mémoire comme d’un instrument dont il tire des sons graves et pénétrants.
Bref, délicat, juste et désenchanté, le récit de Pierre Bergounioux joue avec la mémoire comme d’un instrument dont il tire des sons graves et pénétrants.