Le Monde, 24 septembre 1993, par Patrick Kéchichian

Il y a dans l’écriture comme dans le propos de Pierre Bergounioux – les deux étant, plus visiblement que chez tout autre, inséparables – une âpreté, une gravité tragiques. La beauté et la densité de sa prose peuvent bien refuser toute séduction ou facilité, elles ne s’en imposent pas moins.