L’Humanité, 29 septembre 1993, par Jean-Claude Lebrun

Une écriture pleine, tendue à la limite de la rupture, tout à fait unique dans l’actuel paysage littéraire, et qu’on sent aujourd’hui parvenue à un degré suprême de pureté. […] Si l’on voit Descartes de nouveau, et Kant, fermement calés à l’horizon, avec toujours ces traits qui sont un vrai bonheur pour la réflexion […], on y pressent aussi la permanence des plaisirs sensuels du regard, avec leur capacité d’émerveillement inentamée.