Midi libre, 1er mars 1995, par Jean Debernard
On retrouve dans ce texte court le sourire songeur et quelque peu énigmatique de Pierre Dumayet. Réflexion décapante s’il en est, que l’humour assouplit, sur le travail du temps et celui de la mémoire. […] La densité plaisante de ces pages perturbe nos semblants de logique et nous fait craindre de parler abondamment pour ne rien dire : ne rien dire aux autres en tout cas.