La Croix, 15 avril 1988, par C. N.-A.
C’est fantasque, et à la fois diaboliquement exact, savoureux, précis. Il faut dire que l’écriture de Pierre Michon est un vrai régal et que c’est ce qui fait comme on dit toute la différence. Un petit livre qui vous rendrait caduque toute la production romanesque d’une saison.