Le Soir, mai 1988, par Pierre Mertens
Par le détour d’une imagination cannibale, Michon ne dévore ses créatures, que pour mieux assurer leur résurrection, leur déploiement dans l’éternité des mots. Une secrète connivence, une mystérieuse empathie, une grande compassion portant les pas de l’écrivain à la rencontre de ses personnages.