24 heures, 1er avril 1997, René Zahnd
On retrouve avec plaisir et une certaine délectation la voix de Michon qui, de sa manière incomparable, à travers les légendes irlandaises ou des épisodes du Causse, à travers des lectures, nous répète, dans le lointain du texte, un chant mystérieux : celui qui dit et redit, dans les landes lointaines et les sommets élevés, par-delà le temps et l’espace, quelque chose de la pérennité de l’être humain.