Le Généraliste, 18 avril 1997
Pierre Michon évoque de façon inattendue, Balzac, Faulkner, ainsi que l’écrivain suisse Cingria, gratifié d’un subtil hommage. La prose énorme et profonde de Michon y fait merveille.
Pierre Michon évoque de façon inattendue, Balzac, Faulkner, ainsi que l’écrivain suisse Cingria, gratifié d’un subtil hommage. La prose énorme et profonde de Michon y fait merveille.