Le Nouvel Observateur, 8 août 1996, par Claude Roy
[…] Jacques Réda ne ressemble à personne, sinon à l’idée qu’on pourrait se faire d’un poète, si les poètes, comme Réda, n’oubliaient pas d’être visiblement poètes, prenant les apparences d’un passant qui feint de passer le temps.