Lyon capitale, 19 avril 2000, par Cathy Bouvard
Avec un doigté à la fois précis et sensible l’écrivain dessine les contours de la solitude qu’on se crée dans un studio, au cœur d’une musique ou dans sa vie pour échapper à soi-même. Il écrit aussi avec délicatesse ces détails immatériels qui nous rattrapent, nous obligeant à nous mettre au diapason de ce que nous croyions avoir fait de nos vies.