Le Matin, 19 novembre 1985, par Raphaël Sorin
Musique funèbre, subtile, que Caproni improvise en évitant tout effet facile. On pense à Louis-René des Forêts, autre écrivain de la douleur indicible, du désespoir tacite. C’est admirable.
Musique funèbre, subtile, que Caproni improvise en évitant tout effet facile. On pense à Louis-René des Forêts, autre écrivain de la douleur indicible, du désespoir tacite. C’est admirable.