Le Quotidien de Paris, 5 octobre 1982, par Pierre Daix
C’est un essai fourmillant, débordant d’idées, d’aperçus, d’ouvertures, qu’il faut lire dans son rythme propre […].
C’est un essai fourmillant, débordant d’idées, d’aperçus, d’ouvertures, qu’il faut lire dans son rythme propre […].