Le Nouvel Observateur, 22 mai 2008, par Didier Jacob
Étrange destinée que celle du coq : cette sorte de clocher à crête est aussi adulé du paysan qu’il n’est, particulièrement le dimanche à 5 heures du matin, maudit par le bobo en vacances. Ex-critique à « Libération », le romancier Jean-Baptiste Harang a pondu, un été durant, un texte quotidien sur les expressions qui le concernent : « Passer du coq à l’âne », par exemple. De petites merveilles à lire tous les matins, à l’heure où le soprano à plumes prend son inspiration.