Le Monde, 21 avril 1989, par Jean-Noël Schifano
Linéaire, beau, d’une beauté toute classique bien rendue par la traduction de Gilbert Bosetti, poignant, dans la lignée de La Mort d’Ivan Illitch, un de ces textes essentiels que nous offre un auteur au fil de son œuvre, quand l’élancement des souvenirs et des blessures est dompté par la limpidité du style et la maîtrise des sentiments.