Télérama, 13 janvier 1999, par Michèle Gazier
Michèle Desbordes n’écrit pas sur la peinture, elle peint avec des mots et compose ce superbe tableau d’automne tardif où n’existent plus que la beauté et la simplicité du geste, de l’observation ; que cette complicité sans parole d’une rencontre aux marges de la gloire, de la pauvreté, de la vieillesse.