Biba, janvier 2017, par Joëlle Goron
On enterre la grand-mère, tout le monde pleure et brosse un tableau merveilleux de l’aïeule. Mais le narrateur, lui décide de dire ce qu’il pense. Pas seulement de mamy. Toute la famille y passe. Et il ne faut pas croire que le narrateur n’aime personne, il rêve encore de sa camarade de classe qu’il n’a jamais revue. Désopilant.