La Croix, 1er mars 1998, par Jean-Maurice de Montremy
François Bon estime trop ceux qu’il rencontre (détenus, toxicomanes, jeunes ou moins jeunes des cités, solitaires dans la ville […] pour leur offrir un langage modeste. Ils ont droit (et nous avec) à la grande prose, aux formes repensées, bref une contention où se retrouve l’attente de tous ceux qui « trop supportent ». C’est un travail dense, souvent dramatique, souvent poétique sur le « lien défait de la ville ».