Libération, 12 janvier 1995, Jean-Baptiste Harang
Géva Caban a perdu sa mère, il y a peu d’années […], elle en dit l’intime sans impudeur, le chagrin sans la douleur, la lucide consolation, par la grâce de l’écriture la plus naturelle qui soit, la plus légère, et l’usage du cœur.