Libération, 16 avril 1992, par Jacobo Machover
Julio Llamazares signe un livre inclassable qui n’a pour but que de ressusciter ce qui reste le bien le plus précieux (peut-être le seul) de ces pauvres gens demeurés là parce qu’ils ne pouvaient pas faire autrement : la source du souvenir, l’enfance sans fin.