Le Soir, 10 mai 2000, par Pierre Mertens
Simeone déploie des fugues aussi subtiles que prégnantes. Insidieusement, obstinément, son texte nous capture, nous séduit, nous alarme et, peu à peu, nous envoûte. Il est d’une remarquable intemporalité.
Simeone déploie des fugues aussi subtiles que prégnantes. Insidieusement, obstinément, son texte nous capture, nous séduit, nous alarme et, peu à peu, nous envoûte. Il est d’une remarquable intemporalité.