Libération, 5 mars 1998, par Jean-Baptiste Marongiu
Silvio D’Arzo réussit le double miracle d’exclure de son monde le devenir, et, à la fois, de l’assigner à la métamorphose perpétuelle. La réalité est comme surprise sur le seuil de son être, en cet instant incertain où la puissance peut passer à l’acte ou rester en retrait.