La Croix, 7 avril 1990, par Michel Crépu
Tout, dans la prose de Loria, semble avoir été vidé de ce mauvais air qui embrume et corrode l’ordinaire romanesque : on ne parlera donc pas ici d’ambiance, ce mauvais substitut, mais bien d’un monde en soi, pur et net comme le sont les rêves ou le coin d’une ruelle à la tombée du jour.