Le Point, 10 septembre 1999, par Valérie Marin La Meslée
Par la magie de ces débuts réussis où l’on entre dans un livre en sachant qu’on y sera bien, nous voilà sous le charme de cette chambre où Maria s’installe pour écrire sur sa sœur disparue. Le récit de leur enfance est une merveille, où Isabella apparaît aussi audacieuse que Maria est timorée, aussi imaginative... Lire la suite
Le Journal de la rentrée littéraire (Fnac), 18 septembre 1999, par Nathalie Masseau
Un très beau roman sur l’amour fraternel. […] Un récit captivant qui se dévore alors que l’on voudrait prolonger le plaisir de sa lecture.
Lire la suiteLa Vie, 23 septembre 1999, par Élisabeth Nicolini
Luigi, Francesca, Cristina… Décidément, la famille Comencini a la fibre créatrice. Et comme son cinéaste de père, émouvant réalisateur de Cuore, Cristina raconte merveilleusement les histoires de famille. Ainsi, dans ce troisième roman, c’est l’histoire de deux sœurs, attachées tendrement, profondément et viscéralement l’une à l’autre, telles « deux gouttes d’eau d’un même nuage », que le... Lire la suite
La Croix, 30 septembre 1999, par Francine de Martinoir
Rarement les « années de plomb » avaient été évoquées avec un tel rayonnement romanesque, peut-être parce que Cristina Comencini a mis l’accent sur la complexité des sentiments, sur l’histoire des âmes, sur la persistance des rêves d’affection, en dépit du deuil des espérances politiques. Elle a su nous livrer le regard, plein d’humour et d’émotion, que... Lire la suite
La Quinzaine littéraire, 1er octobre 1999, par Monique Baccelli
Quand vient la cinquantaine Si les deux sœurs qui occupent Cristina Comencini ne connaissent pas les étranges dérives des héros de Michel Houellebecq, elles ne sont pas moins marquées, chacune à sa façon, par leur révolte juvénile. Une expérience qui, pour Maria, serait vite oubliée si elle n’était l’épouse d’un militant relativement tenace, alors qu’Isabella... Lire la suite
Reg’arts, octobre 1999, par Valérie Hernandez
La fille du cinéaste publie son troisième roman chez Verdier. Un regard de femme sur la révolution en politique. Ce beau visage nous est connu : Cristina Comencini jouait dans le Casanova de Luigi Comencini, il y a très longtemps. Romancière, elle sort chez Verdier, dans la collection « Terra d’altri » un roman classique, fluide, où tout est... Lire la suite
Elle, 25 octobre 1999
Deux sœurs inoubliables Sœurs est une histoire de sœurs, et celles-ci vont beaucoup aimer la lire. Mais Sœurs peut plaire aussi à la lectrice et au lecteur élevé sans frère ni sœur. C’est dire que ce roman touche à tout, embrassant en 188 pages l’Italie post-mussolinienne, dont Maria et Isabella incarnent, chacune à leur manière,... Lire la suite
Le Figaro, 11 novembre 1999
[…] Cristina a su s’affranchir de Luigi et Sœurs, son troisième roman, a une petite musique originale qui poursuit tout au long du livre. Elle raconte l’histoire, entre 1951 et 1967, de deux sœurs, Maria, la narratrice, raisonnable et un peu grise, et Isabella, l’aventurière, enthousiaste et fragile. […] Relations difficiles sur fond de bourgeoisie... Lire la suite
Lire, janvier 2000, par Catherine Argand
Avides de liberté et d’idéal Dans le bosquet de bambous d’une demeure patricienne deux petites filles de la bourgeoisie romaine chuchotent. L’une s’appelle Isabella. Excentrique, sensible, aventureuse, elle est veillée par son aînée, Maria la raisonnable, la bonne élève, la secrète.
C’est ainsi que leurs parents les présentent, c’est ainsi que pendant longtemps elles se... Lire la suite
Le Nouvel Observateur, 2 décembre 1999, par M. F.
La narratrice de ce roman, Maria, croque de manière subjective la vie de sa cadette, Isabella, jeune femme libre et anticonformiste, dont la fin sera tragique. Nous sommes dans les années soixante-dix, dans une Italie plombée par ses remous sociaux. Point d’orgue du troisième roman de la réalisatrice Cristina Comencini, l’amour que les sœurs portent... Lire la suite