Chaoïd
Collection dirigée par David Ruffel et Lionel Ruffel
Créée au printemps 2004, la collection tient son nom de la revue de littérature Chaoïd, création – critique, une revue en ligne fondée en juillet 2000, dont chaque numéro tenta de répondre à son sous-titre qui est aussi son programme : « création (et) critique ». La juxtaposition de ces deux termes indique tout autant la collusion de deux régimes de parole au sein d’un même texte que leur liaison, leur frottement et leur inclusion dans un espace éditorial délimité.
La collection « Chaoïd » poursuit cette réflexion par le livre. Elle accueille des fictions, des essais et de la théorie littéraire qui renouvellent les enjeux et les formes de la création et des savoirs. Leur articulation entend répondre à ce qu’exige l’époque. Peut-être alors faut-t-il réaffirmer cette idée : la littérature aujourd’hui pense, comme elle l’a toujours fait, et seule une doxa récente s’y oppose.
- Accident (Sarah Streliski)
- Avant que j’oublie (Anne Pauly)
- Avec les moines-soldats (Lutz Bassmann)
- Constellucination (Louise Bentkowski)
- Danse avec Nathan Golshem (Lutz Bassmann)
- Domaine de Breakdown (Tonino Devienne)
- D’oncle (Rebecca Gisler)
- Grichka (Laure des Accords)
- Haïkus de prison (Lutz Bassmann)
- La montre cassée (Tiphaine Samoyault)
- La souterraine (Christophe Pradeau)
- Le Dénouement (Lionel Ruffel)
- Le jour où le désert est entré dans la ville (Guka Han)
- L’envoleuse (Laure des Accords)
- Le petit garçon sur la plage (Pierre Demarty)
- Les aigles puent (Lutz Bassmann)
- Les deux dormeurs (Samy Langeraert)
- L’hôpital (Ahmed Bouanani)
- L’inquiétude d’être au monde (Camille de Toledo)
- Mon temps libre (Samy Langeraert)
- Partout le feu (Hélène Laurain)
- Tout le monde n’a pas la chance d’aimer la carpe farcie (Élise Goldberg)
- Vomito negro (Pavel Hak)
En Verdier/poche
- Avant que j’oublie (Anne Pauly)